Solution intégrée vs Best of Breed.

Logiciel « tout-en-un » OU  plateforme « Best of Breed » ? Comment faire le bon choix ?

Les solutions digitales se divisent aujourd’hui en deux catégories. D’un côté, les solution de type « tout intégré » qui entendent se suffire à elles-même pour satisfaire l’essentiel des besoins d’une entreprise. D’autre part, une offre qui s’inscrit dans une logique « best of breed » qui cherche à offrir la meilleure réponse technologique à une problématique précise.

Alors comment faire le bon choix ?

Telle est la grande question quand il faut choisir des outils collaboratifs pour ses équipes ou sa société. L’arrivée d’acteurs comme Teams ou Slack sur le marché a bouleversé la manière d’échanger en entreprise. Moins en révolutionnant les méthodes de travail et de partage qu’en apportant des outils focalisés sur une technologie ou un usage avec la meilleure expérience possible. Les sociétés qui déploient ces solutions ont, de plus, tendance à s’intégrer les unes aux autres par API pour fluidifier cette expérience utilisateur. C’est la stratégie du « best of breed », prendre le meilleur de ce qui existe sur le marché.

 

Aujourd’hui, les attentes des clients sont plus élevées que jamais et la multitude des choix rend les produits “all in one” moins pertinents. Cependant, l’expérience dans les plus grosses suites est souvent plus fluide. Les outils Office par exemple sont intégrés nativement à Teams. Des connexions sont, certes, disponibles dans la quasi-totalité avec les plateformes concurrentes mais l’utilisateur sort tout de même de l’environnement.

 

Pour compléter nos dires n’hésitez pas à lire l’article d’Emotic !

L'interopérabilité et la fluidité de l'expérience.

Un fonctionnement « best of breed » nécessite, pour offrir une expérience optimale, de connecter les outils entre eux et de réussir à centraliser les données issues de chacun au sein d’un portail unique pour unifier l’expérience. C’est ce qu’on appelle l’interopérabilité. L’objectif est de s’assurer de la cohérence des interactions mais aussi des données qui vont être échangées entre les briques. L’enjeu étant de restituer un parcours totalement fluide, grâce à l’unification de l’interface utilisateur.

 

La question à se poser est donc que souhaite l’utilisateur final ?

 

Car si les gens n’utilisent pas l’outil ça ne sert à rien de le pousser ! D’où l’importance de privilégier des outils que les utilisateurs finaux veulent utiliser. C’est justement l’une des missions de Willcome : guider nos clients dans cette offre effectivement très riche, en nous appuyant sur notre connaissance du secteur et de ses acteurs. Notre accompagnement, effectué par nos consultants spécialisés, consiste à définir précisément ses besoins et de co-réfléchir aux réponses.

Un enjeu, limiter le risque.

  • Par exemple, si un des composants du SI venait à défaillir du fait d’une incompatibilité avec l’architecture de la plateforme, nous avons la capacité de rebondir pour aller chercher un autre module.
  • Un deuxième niveau de risque à maîtriser concerne les projections de développement de l’entreprise.
  • Le défi est alors d’anticiper les évolutions à court et moyen terme, par exemple une forte augmentation du nombre de collaborateurs en quelques années, pour s’assurer que les briques mises en place vont pouvoir absorber les répercussions des évolutions de l’entreprise.

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